•  Qui suis-je? Pourquoi la création d'un blog?

     

    Je me présente, je m'appelle Nadège Douchamps, jeune fille de 23 ans habitant dans le brabant flammand. Je suis actuellement étudiante en 2ième année « éducatrice spécialisée en accompagnement psycho-éducatif » à la Haute École de Bruxelles Defré à Uccle. Dans le cadre de ma formation, j'ai réalisé mon stage de cette année à la «Cité Joyeuse», un IMP (Institut Médico-Pédagogique) avec des adolescents masculins situé à Molenbeek (Bruxelles). Durant ma première année d'étude, j'étais en hébergement pour personnes adultes atteintes d'une déficience mentale.

    Suite à mon expérience de cette année avec les jeunes adolescent de 10 à 17 ans, j'ai pu percevoir que la violence étant constamment présente mais encore plus, après qu'ils aient joué aux jeux vidéos. Le jeune peut être influençable et n’a pas forcément de recul sur ce qu’il peut voir ou lire. L’objectif ici est de montrer que les médias ne sont pas le reflet de la réalité. Je veux amener le jeune à développer son esprit critique afin qu’il soit plus autonome pour lui permettre d’acquérir de nouveaux moyens d’expression et de communication autre que la violence. 

    J'aimerai qu'ils puissent se rendre compte des risques et dangers que cela peut engendrer, qu'ils puissent également comprendre la différence de l'irréel et du réel afin de ne pas représenter les mêmes faits et gestes du monde irréel. C'est pourquoi, il me semble que ce public est davantage susceptible à l'éducation aux médias.

     

     

    Quelques explications...

     

     

    C'est quoi être éducateur "spécialisé"? 

    La définition de l'éducateur accompagnateur spécialisé décrite dans la loi comme "la personne qui favorise par la mise en oeuvre de méthodes et de techniques spécifiques, le développement personnel, la maturation sociale et l'autonomie des personnes qu'il accompagne ou éduque, exerçant sa profession soit au sein d'un établissement ou d'un service, soit dans le cadre de vie habituel des personnes concernées."

    Plus précisément; "nous pouvons pointer plusieurs caractéristiques du métier de l'éducateur sont : l'intervention au quotidien, la prise en compte de la globalité de la personne, l'approche de la complexité humaine, le travail avec un groupe et en équipe, l’inscription dans un projet, et la diversité de la profession." 

    Source : DAVAGLE MICHEL (et al.), Les carnets de l'éducateur. Exploration de la profession. Marchienne, Rhizome, 2013. p.27 et p.30

    Si de plus amples informations sur le travail de l'éducateur vous intéresse, je vous propose de poursuivre en cliquant sur le lien qui est ma source : "Les carnets de l'éducateur".

     

    Et l'éducation aux médias dans tout ça?

    Avant tout, il me semble nécessaire de vous évoquer une brève définition concernant l'éducation au sens large et des médias :

    "L'éducation est, étymologiquement, l'action de « guider hors de », c'est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l'apprentissage et le développement des facultés physiques, psychiques et intellectuelles, les moyens et les résultats de cette activité de développement. L'éducation humaine inclut des compétences et des éléments culturels caractéristiques du lieu géographique et de la période historique."

    Source : WIKIPEDIA, la définition d' "éducation" disponible sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Education, consulté le 15 mai 2014

     

    "Les médias sont les procédés permettant la distribution, la diffusion ou la communication d'œuvres, de documents, ou de messages sonores ou audiovisuels (presse, cinéma, affiche, radiodiffusion, télédiffusion, vidéographie, télédistribution, télématique, télécommunication)."

     

    Source : Dictionnaire Le Larousse, la définition des "médias" disponible sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/m%C3%A9dia_m%C3%A9dias/50085, consulté le 19 mai 2014

     

    Grâce à mon cours d'éducation aux médias, j'ai pu consulter un document venant d'un professeur de l’université de Sherbrooke qui se prénomme Jacques Piette.

    Selon lui, il existe deux types d'éducation mais ces deux expressions proches se confondent dans l’esprit de bien des gens du milieu de l’enseignement, comme d’ailleurs dans celui des professionnels des médias. Il est donc important de faire la différence : 

    1. L'éducation « par » les médias

    "Lorsqu’on parle d’éducation par les médias, on entend une éducation qui utilise les médias de masse (films, émissions de télévision, journaux, magazines, radios, affiches publicitaires, etc.) comme auxiliaires d’enseignement, comme aides à l’enseignement des matières inscrites au programme scolaire. Ainsi, on fait de l’éducation par les médias lorsqu’on projette en classe un documentaire scientifique dans les cours de sciences en vue d’aborder ou d’approfondir des connaissances sur un sujet particulier. De même, lorsqu’on visionne un film dans le cadre de l’enseignement de l’histoire, de la religion ou de la morale, en vue de traiter d’un thème particulier inscrit au programme. Même chose lorsqu’on utilise des articles de journaux ou des dramatiques télévisées pour aborder certains aspects de l’apprentissage de la langue maternelle, de la langue seconde, etc. L’éducation par les médias renvoient ainsi à une pédagogie du support, où les productions médiatiques sont au service de l’enseignement des matières scolaires."

    2. L'éducation « aux » médias

    "Dans le cas de l’éducation aux médias, la perspective est tout autre. Il ne s’agit pas d’utiliser les médias comme des aides à l’enseignement. Ici, ce sont les médias qui deviennent eux-mêmes l'objet d’étude. Les médias sont abordés comme constituant un domaine spécifique et autonome de connaissances sur lequel porte l’enseignement.

    Faire de l’éducation « aux » médias, c’est donc travailler sur les productions médiatiques elles-mêmes, sur leurs origines, la manière dont elles sont construites, diffusées et consommées. C’est s’interroger sur les modalités de réception des messages des différents médias et c’est chercher à comprendre la nature de leurs impacts et de leurs effets en identifiant et en se prononçant sur les idées, les valeurs et les points de vues qu’ils véhiculent. Convier l’élève à une démarche d’éducation « aux » médias, c’est l’amener à s’interroger sur la nature des relations que nous établissons avec les médias, tant au niveau individuel que collectif. "

     

    Jacques Piette évoque également un point important, le concept de la "non-transparence" des médias : "Cette conception met de l’avant l’idée que les médias sont continuellement impliqués dans un processus de sélection, d’agencements et de diffusion de l'information, c’est-à-dire un processus actif de « re-présentation » de la réalité. On considère ainsi que les messages des médias ne sont jamais neutres, objectifs, impartiaux, mais qu’ils expriment toujours un point de vue particulier sur des idées, des valeurs, des croyances, des conceptions spécifiques à propos de l’objet dont ils parlent."

    Source : Jacques Piette Éducation aux médias et fonction critique, L’Harmattan, Col. Éducation et formation, 1996. Document disponible sur http://www.reseau-crem.qc.ca/projet/piette.pdf grâce au cours de Mr. Paulus A. donné en cours durant la formation d' "éducateur spécialisée en accompagnement psycho-éducatif" durant la deuxième année durant l'année 2013-2014, Bruxelles, consulté le 20 mai 2014

     

    L'éducation aux médias comme outil éducatif? Quels objectifs?


    Il est évident que l'éducation aux médias peut être utilisé comme outil éducatif étant donné que nous avons le rôle d'être l'intervenant au quotidien des actes des bénéficiaires. Nous sommes confronté au quotidien à l'information numérique et cela a brutalement changer notre façon d'apprendre, communiquer ou tout simplement travailler. Les médias dominent à l'heure actuelle, que cela soit sur le plan professionnel ou privé et touchent plus particulièrement les enfants et les jeunes via la télévision, le cinéma, internet, les jeux vidéos, la musique,... Beaucoup d'enfants explorent des contenus médiatiques souvent sans surveillance ni réflexion. Il est donc important de pouvoir leur expliquer les risques et les dangers de ces médias, et de s'assurer qu'il y ait une compréhension et une réflexion critique à propos de ceux-ci.

    Les objectifs de cette éducation sont principalement : développer l’esprit critique, décoder les informations nécessaires, utiliser ces informations pour réagir et pouvoir faire la différence entre le monde réel et irréel.

     

    Voici une petite vidéo humoristique concernant les jeux vidéos :  

     Source : YOUTUBE, "Les jeux vidéo" disponible sur https://www.youtube.com/watch?v=lgv_-X9LPlY consulté le 21 mai 2014

     

     Mon intervention éducative 

    Mon public cible 

     

    Le public que j’ai choisi afin de réalisé mon intervention éducative sont les jeunes que j'ai rencontré cette année lors de mon stage à La Cité Joyeuse au Pavillon Herman Dons. Dans celui-ci, 32 garçons âgés de 8 à 21 ans sont généralement placés par les parents sur le vif conseil d'un centre (hôpital, centre PMS, centre de guidance, centre de santé mentale, etc.).

    La majorité d’entre eux présentent des catégories 111 (enfants étant atteints d’une « déficience mentale légère ») et 140 (enfants présentant des « troubles caractériels », un état névrotique ou prépsychotique et nécessitant une éducation appropriée »).

    Lorsque l’enfant présente des troubles du comportement d’une grande gravité, il est nécessaire qu’il y ait une prise en charge pluridisciplinaire. Ces troubles (par exemple : les personnalités névrotiques, « borderline », prépsychotiques,…) découlent de perturbations de la structure de la personnalité et/ou familiale et touchent principalement les aspects relationnels et affectifs.

    Ces jeunes sont donc entouré de médias constamment et sont influencés par ceux-ci étant donné qu'à ce moment de vie, beaucoup de changements ont lieu et sont en pleine construction "identitaire". Ils sont évidemment les plus touchés par les médias étant donné qu'ils grandissent avec cette technologie telle que internet, la télévision, les films, les jeux vidéos, la publicité,... Cependant, beaucoup d'autres eux perdent le contrôle car ils sont incapable de pouvoir faire la différence entre le monde irréel (le moment où ils sont un autre personnage lorsqu'ils jouent aux jeux vidéos) et le monde réel (ce qu'ils sont vraiment). De plus, la plupart d'entre eux ont la tendance de s'occuper que via les jeux vidéo et plus principalement les plus violents

     

    Les besoins du public

    Les jeunes de nos jours ont besoin de repères. A l’heure actuelle, beaucoup de jeunes se sentent perdus, voire désemparés quand aux médias en général. Il ont besoin de développer leur esprit critique, d’améliorer leurs connaissances en ce qui concerne les médias en général. Ils ont également besoin de structures afin d’être le mieux (en)cadrés possible lors de leurs questionnements. Par ailleurs, il est important pour eux de se divertir

     

    Choix du public

    J’ai remarqué lors de mon stage de 2 ième que certains jeunes avaient tendance à être beaucoup plus violents envers les autres après avoir jouer aux jeux vidéos où de la violence était présente. Ils ont donc beaucoup de difficulté à sortir du jeu et donc de l'irréel. Etant donné que ce ne sont que des garçons dans le pavillon, la tendance de s'occuper que via les médias est très présente et encore plus, celle de s'occuper aux jeux vidéos qui sont composés de violence. 

    Mon rôle, en tant qu’éducateur spécialisé, sera de les sensibiliser le plus possible à propos de ces jeux assez violents et également de les faire réfléchir entre ce qui est le réel et l'irréel. Il est important de leur faire comprendre que les jeux vidéos peuvent être nuisible pour eux après avoir joué à certains jeux violents. De plus, il est important qu'ils réalisent qu'ils savent s'amuser avec d'autres jeux vidéos où aucun acte de violence soit présent.

     

    Au coeur de l'intervention...

    Mon intervention consistera à faire réfléchir les enfants entre ce qui est réel et irréel afin qu'ils sachent que ce qu'ils font dans les jeux vidéos n'est pas la réalité. L'activité tournera autour d'une discussion collective afin de comprendre les différences entre le monde réel et le monde virtuel des jeux vidéos après visionnage de quelques scènes violentes dû aux jeux.

    Je proposerai également un temps par la suite de jouer au jeu vidéo "Let's dance" afin d'être toujours un personnage irréel mais de pouvoir se divertir et s'amuser sans acte de violence. Pour en savoir plus sur ce jeu vidéo, je vous propose de suivre ce lien : ici

     

    Temps

    Différents temps seront consacré au monde réel/irréel, c'est-à-dire :

    1. environ 5 minutes de visionnage des vidéos

    2. la discussion à deux durera environ 10-15 minutes

    3. Débat collectif : environ 30 minutes pour que chacun puisse s'exprimer.

    4. Environ 10 minutes seront consacrés à élaborer une conclusion tous ensemble.

    Concernant le temps de jeu vidéo "Let's dance" sera en fonction du dynamisme des jeunes.

     

    Espace

    - Une salle de conférence où il est possible de visionner les vidéos

    - Une salle de "jeu" où il y a de l'espace suffisant pour bouger

     

    Matériel

     Pour le visionnage des vidéos : 

    - Les vidéos

    - Une télévision/un ordinateur

    - Tables et chaises

    Pour le débat :

    - Des feuilles et des bics pour ceux qui désirent écrire leurs idées

    - Une grande affiche blanche pour en faire la conclusion collective

    - Tables et chaises

    Pour le jeu :

    - Le jeu "Let's dance"

    - La console de jeu

     

    Participants

    Environ 8 jeunes étant en pleine adolescence et étant assez accro aux jeux vidéos.

     

    Objectifs

    Le but de cette activité permettra aux enfants de :

    - Développer le sens critique par rapport aux contenus des vidéos

    - Travailler sur soi-même, apprendre à se connaître

    - Faire la différence entre ces deux univers 

    - Être curieux, et prendre conscience que cela peut avoir un impact sur eux

    - Débattre collectivement tout en respectant la parole de l'autre être à l'écoute de l'autre

     

    Les étapes de l'intervention

     Tout d'abord, il est important de faire parvenir l'information à l'avance aux jeunes. Ils seront au courant à l'avance de cette activité concernant les jeux vidéos.

    Dès leur arrivé, je leur proposerai de s'installer devant l'écran afin de visionner les différentes courtes scènces suivantes (ainsi qu'éventuellement celle utilisée dans la rubrique : analyse d'un document médiatique) :

     

     Source : YOUTUBE, disponible sur https://www.youtube.com/watch?v=Jx5uuCZHgso, consulté le 22 mai 2014

    A partir d'une minute...

    Source : YOUTUBE, disponible sur https://www.youtube.com/watch?v=MxxHcRg1eIc, consulté le 22 mai 2014

    Vers la 6ième minute 30 jusque 50 secondes...

    Source : YOUTUBE, disponiblle sur https://www.youtube.com/watch?v=MqDWL0MgAtc, consulté le 22 mai 2014

     

    Ensuite, après le visionnage des vidéos, je leur proposerai de se mettre par deux et de discuter de ce qu'ils ont vu. Je leur proposerai plusieurs questions telles que :

    - Pouvez-vous me citer les actes qui peut faire dans le jeu vidéo et ceux qu'on ne peut pas faire dans la vie réelle?

    - Trouverez-vous cela chouette si les jeux vidéos ressemblerait à la vie réelle?

    - Quels actes sont punissables dans la vie réelle?

    - Qu'est ce qui vous plait dans les jeux vidéos?

    -Auriez-vous tendance à refaire les actes présents dans les vidéos?

    Après une discussion à deux, je leur propose de réunir toutes les réponses aux questions afin d'avoir l'avis de chacun et de pouvoir en faire une mise en commun puis d'en faire un débat afin que chaque participant puisse expliquer son point de vue.

    Dernièrement, je leur proposerai de jouer au jeu vidéo "Let's dance" afin de se divertir sans que cela soit un jeu violent.

     

     

    Document médiatique 

     

    Voici une vidéo prise sur Youtube concernant un jeu avec des actes violents que je vais analyser par les  6 approches médiatiques selon Jacques Piette.

     

    • "Le langage : identification et analyse des éléments qui constituent les messages médiatiques.
    • Les technologies : prise de conscience des limites et des contraintes d’un choix techniques, de son incidence sur les contenus et leur traitement sur la perception et la compréhension du message médiatique.
    • Les représentations : prise de conscience de la non-transparence des médias. Saisir que les représentations produisent des effets sur les connaissances, les opinions et les émotions.
    • Les typologies : comprendre que les documents médiatiques peuvent être classés en différentes catégories suivant leur contenu ou leur genre; prendre conscience du caractère relatif de toute classification.
    • Les publics : comprendre comment on donne du sens à un document médiatique. Se percevoir en tant que public-cible.
    • Les producteurs : connaître le monde de la production médiatique : qui intervient dans la production du message, quels sont les détenteurs des médias?"

     

    Source : Jacques Piette Éducation aux médias et fonction critique, L’Harmattan, Col. Éducation et formation, 1996. Document disponible sur http://www.reseau-crem.qc.ca/projet/piette.pdf grâce au cours de Mr. Paulus A. donné en cours durant la formation d' "éducateur spécialisée en accompagnement psycho-éducatif" durant la deuxième année durant l'année 2013-2014, Bruxelles, consulté le 20 mai 2014

     

    Source : Youtube, GTA 5 disponible sur https://www.youtube.com/watch?v=HhJ7RjAkFQk, consulté le 21 mai 2014

     

    1. Les producteurs:  Qui produit les messages et pourquoi?

    Grand Theft Auto, souvent appelé GTA est une série de jeux vidéo de type action/aventure créée par Davy Jones, et plus tard par Dan et Sam Houser avec la collaboration du game designer Zachary Clarke. 

    Il s'agit d'une vidéo postée sur Youtube par un joueur de GTA 5 et qui démontre une partie de jeu enregistrée sur un écran d’ordinateur.

    2. Les langages:  Quels langages utilise-t-on et pourquoi?

    En ce qui concerne le langage, les principaux éléments sont personnels à la personne qui joue. C'est-à-dire que le joueur agit comme si c'était lui qui courrait sur la plage et ses faits et gestes sont ceux du joueurs également grâce à sa manette. Nous entendons également que le joueur est en correspondance avec quelqu'un. Les paroles émises sont donc ceux des 2 personnes en correspondance. Tout est mis en place pour penser que nous sommes réellement dans le jeu car la caméra suit le personnage irréel que nous sommes. Les bruits sont comme réels (personnes souffrantes, coups de couteaux, bruits présents sur la plage,...).

    3. Les représentations:  Quelles représentations de la réalité sont proposées et pourquoi?

     Les représentions dans ce jeu sont adaptées pour que les joueurs imaginent qu'ils y sont pour de vrais. Cependant ce jeu est constitué d'énormes faits surréalistes tels que tuer 27 personnes avec un couteau sur la plage. Ces actes de violences ont une répercussions sur le psychologique du joueur.

    4. Les types de messages: Quels types de messages sont proposées et pourquoi?

    Il s'agit d'une vidéo mise par le joueur sur le site Youtube afin de montrer ce qu'il fait dans le jeu. Le but est donc de divertir et peut-être d'inciter les autres à jouer également à ce jeu. 

    5. Les publics:  A qui s’adresse le message, pourquoi et comment est-il reçu?

    Les internautes qui cherchent des vidéos concernant le jeu GTA sur Youtube.

    6. Les technologies:  Quels éléments techniques sont utilisés et pourquoi?

     En ce qui concerne un jeu vidéo de ce type, la technologie est au plus haut point. C'est-à-dire que l'image virtuelle créée nous donne l'effet d'être à la place du personnage. En ce qui concerne le son, des missions nous sont donnés à voix hautes pendant le jeu et en plus, nous sommes capable d'être "en ligne" avec d'autres joueurs afin de discuter ensemble.

     

     Conclusion

    A la fin de mon intervention, j'aimerai que les garçons comprennent que les jeux virtuels (et souvent violents) ne sont pas le reflet de la réalité. Cette vidéo concernant le jeu GTA m'a aidé à travailler plus particulièrement sur les représentations du média, et de pouvoir faire rendre compte aux jeunes qu'il s'agit effectivement d'actes surréalistes. La non-transparence des médias est clairement présent dans cette vidéo ainsi que dans celles présentées aux jeunes étant donné qu'ils pensent que les actes violents faits via leur personnage virtuel n'a aucun effet sur eux.

     


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